Le Pérou n’était pas une destination au hasard sur la mappemonde, ni même le rêve d’un enfant devenu obscession, non plus qu’une photo brillante dans le catalogue d’une agence de voyage.
Pour nous, aller au Pérou, c’était retendre un lien avec un pays connu il y a plus de vingt ans, et qui, pendant deux années, s’était imprimé avec sa tendresse et sa brutalité dans l’argile de nos vingt-six ans.
En 2007, c’était sans doute le bon moment pour emporter la famille, avant sa dispersion programmée, pour un grand voyage de découvertes et de souvenirs.
Ce lien particulier nous a également motivé pour donner une autre dimension à notre voyage.
Nous avons donc contacté une association au travail formidable Munay Wasi pour proposer de remplir nos kilos vides de choses utiles.
Dans le même esprit, l’association Kokopelli, tout aussi formidable, nous a fourni de nombreuses semences à destination de quelques communautés paysannes dans le but de promouvoir la biodiversité et l’indépendance par rapport aux semenciers industriels.
Pour ceux que çà intéressent, la page sur Andahuyalas contient plus d’informations sur cet aspect de notre voyage.
